Moment complice. Appréciable. Les gestes sont doux, délicats. Il ne se passe rien du tout et pourtant, y'a cette boule de plaisir qui vient le prendre aux trippes. Comme si ses sens étaient amplifiés. Le piano qui a sa part de responsabilité. Un instant de partage qu'il n'oubliera pas. Mais l'éphémère sonne et elle s'éloigne déjà de lui. Assise sur le canapé, à son aise, il se tourne vers elle. Dans cette nuit qui s'ra peut être la dernière. Eux qui sont trop différent. Eux qui pourraient s'aimer si leurs mondes n'étaient pas diamétralement opposés. Mais plutôt que d'tout gâcher avec cette idée, il peut profiter de l'instant. Simplement. C'est bien l'seul truc qu'il sait faire de toutes façons. Il vit au jour le jour, un comme si demande n'existait pas. Lui qui refuse de passer sa vie à réfléchir à l'après. La vie file sans lui. Rien qui bouge. En tout cas, c'est l'impression qu'il a des fois. ouais. Il vient attraper le bout d'joint qu'il lui reste et se rend à la fenêtre. Il s'esquinte la santé avec ces merdes mais dans un sens, ça l'préserve de la folie. Paradoxe doucereux. y'a des fois où j'ai besoin d'être seul, loin d'tout ça. Loin du tumulte de la vie. Loin des autres. Juste lui et sa solitude pour partenaire. Un peu comme ce soir à la base en fait. Parce que s'il aime être entouré, il a besoin de ces moments à lui. ça t'arrive jamais ? d'être entouré d'un million d'personne mais d'te sentir quand même seule. D'avoir besoin d't'éloigner vraiment et te retrouver juste avec toi. Oui. Il est peut être pas très clair. Il est complètement défoncé en même temps alors la clarté de ses propos est foutue. tu fais quoi en ville au fait ? Oui, parce qu'Edenton n'est pas l'endroit le plus à la mode, les gens en partent plus qu'ils n'arrivent. Les personnes qui sont en villes sont là d'puis un bout de temps en général. Il tire son la fin de son joint et écrase le mégot dans l'cendrier près de la fenêtre avant de fermer cette dernière.

@Paxton Mitchell

Il aime vivre seul. C'est ce qu'il dit en attrapant son joins. De son côté, elle ne saurait pas dire, parce qu'elle n'en a jamais fait l'expérience. Ils sont nombreux à la maison, et elle se dit qu'elle angoisserait toute seule, sûrement. Elle a trop l'habitude des respirations sourdes qui résonnent parfois quand elle passe dans un couloir, ou juste de savoir qu'il y a une présence dans la pièce d'à côté. C'est pour ça qu'elle se sent si bien dans la coloc, parce qu'elle n'y est pas seule. Sûrement qu'elle n'aurait pas tenu longtemps sans eux, sans sa rencontre avec Jess ce jour-là. Mais elle l'observe, la tête posée, le regard qui le suit jusqu'à la fenêtre où il se met à fumer. Elle s'interroge sur le goût. L'odeur est déjà particulière. Ou simplement le pourquoi ? Elle n'y connaît rien à tout ça, innocence préservée par un monde qui ne supporterait pas qu'elle s'y égare. Après, des moments de solitude, elle en a déjà eu. Elle en aura sûrement encore. Physiquement ou non. La campagne c'est rude. Un destin où l'on doit juste suivre les enseignements, aussi. Elle l'écoute, cette réponse qu'il lui offre. Celle qui murmure une réalité au début, qui pourrait correspondre à la sienne. Et puis, peut-être que c'est ce qu'elle a fait, un peu, en voulant faire cette dernière année en ville, s'éloigner et se retrouver avec... elle, et cet autre monde. Elle se redresse légèrement, laisse ses bras l'envelopper doucement. « Je crois... qu'on se sent tous un peu seul parfois. » qu'elle murmure en réponse, sans offrir quelque chose de véritablement concret. Parce qu'elle est perdue, Jem. Tout en sachant qu'à la fin de ces quelques mois, elle s'en ira, elle l'a promis. Mais elle les entend, les paroles de Jess, qui cherchent à lui dire qu'elle a le choix. Et en même temps, elle ne l'a pas, ce choix, sinon ça irait à l'encontre des enseignements. Mais elle ne veut pas croire que ceux qu'elle voit comme ses amis sont damnés et... tu fais quoi en ville au fait ? « Je vends des fleurs. » C'est venu tout seul, parce que c'est vrai, elle est fleuriste, sans avoir le moindre diplôme. Mais elle comprend la seconde suivante, que ce n'est pas ce qu'il veut savoir. Elle est nouvelle. Il ne la connaît pas. Ses joues rosissent légèrement. « Je découvre Edenton. » qu'elle ajoute. C'est bête comme réponse, mais c'est exactement ce qu'elle pense. Elle découvre la ville, ce monde, et elle se contente de vivre, tout simplement, une vie qu'elle ne peut effleurer que du bout des doigts mais qui lui échappe. « Et toi ? »

La solitude fait parti intégrante de la vie pour lui. Parce que l'dicton qui dit qu'il vaut mieux être seul que mal accompagné est tellement vrai. Les gens l'font souvent chier mais il est incapable de s'en séparer. Parce qu'il a b'soin des autres lui. On pourrait croire que non. On pourrait croire qu'il s'en fiche, la tête dans les nuages. Lui qui se sent vide trop souvent. Refuges forgés au fil des années mais qui suffisent pas toujours. Et tandis qu'elle répond, il vient s'installer à côté d'elle sur l'canapé. Ces réponses sont basiques. Jem n'abuse jamais des mots. Elle parle peu et rarement pour ne rien dire. Lui qui n'sait pas si c'est de la timidité. Encore une fois, c'est assez étonnant pour lui, les filles qui l'entourent qui sont de grandes gueules, à lui foutre sur la gueule avec tous ces trucs féministes. Prise de tête. Mais Jemina ne ressemble en rien à toutes les filles qu'il a croisé dans le passé. Et aussi déroutant que ça puisse paraitre, ça lui plait. Ceci dit, va falloir qu'il envisage de s'assoir dessus parce qu'elle a pas l'air très encline à débuter quoi que ce soit avec lui en dehors peut être d'une "amitié". moi ? Wow, comment répondre à cette question ? Il essaye. Il tente d'vivre sans trop se prendre la tête. Il abuse. Sa vie qui n'est rien d'autre qu'un grand mensonge parce qu'il faudrait franchement qu'il grandisse un peu. Homme enfant.  j'livre des pizzas. A part ça ? Il fait pas grand chose Pax. Et si la musique aurait pu être son avenir, son pote a rayé cette possibilité de la liste y'a de ça deux jours maintenant. Crétin égoïste. Une histoire qui s'est achevé à l'aube d'un départ qui aurait pu être grandiose. C'est comme ça. C'est peut être mieux dans l'fond, parce qu'il aurait pas supporter la célébrité Pax. Ca l'aurait rendu fou. Son téléphone vibre dans sa poche et il l'attrape en s'marrant. c'est Holly, elle va pas rentrer tout de suite... Désolé. La voilà coincée avec lui encore un peu mais c'est pas si terrible non ? Après tout, Paxton n'est pas la pire compagnie qui soit.

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Découvrir la ville. C'est même pas assez pour décrire ce qu'elle fait. Parce que ce n'est pas que la ville qu'elle découvre, c'est la vie au sens large du terme. C'est ce qu'on ressent en écoutant de la musique. En sentant ses cheveux flotter au gré du vent. Ou quand il effleure un zone qu'il ne devrait pas pouvoir toucher. C'est goûter à ces boissons qui ne sont ni de l'eau, ni du lait. C'est savourer une pâtisserie. C'est... discuter avec un garçon qu'on connaît à peine en tête à tête dans son appartement. Si son père savait ça, il lui dirait de rentrer, et elle n'était pas sûre d'être assez forte pour lui tenir tête à ce sujet. Alors elle est succincte dans ses réponses, mais tellement précise à la fois pour ceux qui savent ce que ses mots sous-entendent. Mais elle ne saurait pas quoi dire de plus s'il insistait, ainsi elle lui renvoie la balle avec ce "et toi ?" qui s'envole tandis qu'il s'installe à ses côtés, sur le canapé. Et il semble trouver la réponse à donner compliquée. Ca la rassure de pas être la seule à pas savoir comment dire les choses. Quand il lui dit qu'il livre des pizzas... elle laisse un sourire naître à ses lèvres. Elle sait pas encore quel goût ça a. Elle retient les questions "c'est bon ? Quel goût ça a ?" qui pourraient s'attarder entre eux, et la ferait vraiment passer pour un... c'était quoi déjà ? Extraterrestre, oui, c'est ça. Elle l'observe quand il rit pour prendre son téléphone. Pas d'Holly tout de suite, donc. C'est pas grave. C'est pas si mal ici. Avec la musique d'à côté en sourdine. Une porte et Pax pour la séparer de l'autre type. « C'est pas grave. Ton pull est confortable, tout comme ton canapé. » Elle laisse son regard s'attarder sur le sien. Il a cet air un peu ailleurs qu'elle a du mal à s'expliquer. « Et sinon, elles sont bonnes tes pizzas, ou il vaut mieux demander à quelqu'un d'autre d'en livrer si j'en veux ? » Question détournée pour donner une réponse à sa curiosité, parce qu'elle a envie de goûter, maintenant. Et puis... y a cette chanson aussi, c'était quoi déjà, une histoire de muse. Elle a juste peur de passer pour une idiote si elle demande.

Putain la musique d'à côté lui irrite vraiment les oreilles. Il vient agripper un vinyle et le poser sur la platine. Ca suffira pas à couvrir le brouhaha ambiant mais ce sera mieux que rien. Et les premières notes d'une chanson de Radiohead se pose dans l'appartement. Ce qu'il fait Pax, c'est compliqué, il se pose pas trop la question sur ce que lui réserve l'avenir. Il s'en fout. Aucune ambition. Aucun désir d'grandir. Sa mère qui lui dit souvent qu'il ira nulle part s'il commence passe à se prendre en main. Il s'contente de tromper l'ennuie en jouant de la musique. Les journées se ressemblent et rien ne bouge vraiment. Ca l'rassure dans un sens lui. Il est pas de première jeunesse pourtant ce pull, lui qui l'porte depuis l'adolescence. Pax qui n'est pas du genre à flâner dans les rayons du supermarché à la recherche de la dernière nouveauté. Ses vêtements, il les porte depuis longtemps et n'en achète de nouveau qu'en cas d'absolue nécessitée. Et elle questionne SES pizzas. Ca l'fait marrer parce que lui se contente de gérer le transport. tu pourras goûter meilleures j'suppose, après tout, j'travaille à pizza hut. Lui qui dit ça sans savoir que son extraterestre ne sait pas du tout de quoi il parle. Les mots qu'il prononce comme si elle était comme lui. Comme s'ils avaient grandi dans le même monde. Et les pizzas, elles sont pas mauvaises, Pax le sait parce qu'il s'en prend souvent une quand il termine son taf pour la ramener chez lui. Après, il s'passionne pas pour la bouffe lui. Et y'en a même une qui traine dans le frigo depuis hier mais qu'il a même pas entamé. Alors il se lève et va la récupérer. Un coup au micro onde et il la pose sur la table basse devant elle. essaye et tu verras. Il penche sa tête d'un côté, puis d'l'autre avant de reprendre : t'aimes le chorizo ? parce qu'il ne sait rien d'elle en fait, même si les choses semblent plutôt simples et qu'ils discutent comme s'ils étaient déjà amis.

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Elle le suit des yeux lorsqu'il se lève pour... mettre un. En vérité, elle ne sait pas vraiment ce qu'il a mis, mais elle se voit mal lui demander. Un disque. Ca a la forme d'un disque. C'est tout ce qu'elle sait. Puis la musique s'élève et son regarde s'attarde sur la machine qui en produit avec une profonde curiosité. Le son est différent. Et elle aime cette musique qui s'élève. Et puis il rit quand elle le questionne sur ses pizzas. C'est subtil, ça n'avoue pas qu'elle n'y a jamais goûté. Mais sa réponse ne l'éclaire pas vraiment. Il en existe des meilleures, mais c'est quoi "Pizza hut" ? Elle n'en sait rien, fronce simplement les sourcils tout en replaçant une mèche de cheveux derrière son oreille quand il se lève pour... utiliser le microonde. Ca, elle connaît. Les colocs en ont un. Mais la nourriture réchauffée dans ce truc, est moins bonne que quand c'est réchauffé au feu, elle a remarqué la différence. Il revient avec la pizza... qu'il lui propose d'essayer. « Hum... ok. » qu'elle souffle, alors qu'il l'interroge sur... il va vraiment la prendre pour une idiote, parce que à moins de dire qu'elle aime, alors qu'il peut très bien lui parler d'une truc ignoble, elle n'a pas vraiment le choix. Y a cette rougeur qui naît au creux de ses joues, cet embarras qui semble s'attarder auprès d'elle alors qu'elle a laissé ses pieds retomber au sol pour s'emparer d'une part. « J'en sais rien. » Elle regarde la pizza... peut-être que c'est quelque chose qui est dessus ? Alors elle croque un morceau... fil de fromage qui l'enquiquine un peu, alors qu'elle commence à mastiques. « Hum, c'est plutôt bon. » qu'elle souffle après avoir avalé sa bouchée. Question d'éducation.

Elle ne sait pas si elle aime le chorizo, elle semble totalement découvrir ce qu'est une pizza et lui la regarde, interloqué. Un peu déboussolé. Soit, il doit revoir ses fréquentations, soit cette fille est vraiment hors normes. Hors du cadre social qu'il a l'habitude de côtoyer. C'est pas vraiment un soucis ceci dit parce que la voir s'émerveiller sur de petites choses le fait sourire Pax. c'est la première fois que tu manges une pizza ? Qu'il demande. Elle a quoi ? dix huit, dix neuf ans. Il creuse pas vraiment, peut être que ces vieux sont un genre de vegan ou quelque chose comme ça. Peut être que dans le fond, il veut pas savoir pourquoi elle est si différente, juste en profiter. Parce que ce moment est délicieux. Délicieux et interrompu de façon abrupt par des râles derrière la porte de son appartement. Il vient alors débloqué le verrou pour laisser entrer Jessica et Milo. Tout va bien ? qu'ils demandent presque en coeur en se rapprochant de Jemima. Et Jessica reprend : Tu lui as rien fait toi ? regard noir qui appuie sa question. Et Pax fronce les sourcils avant d'répondre à Jess. et vous étiez où tous les deux ? Oui, parce que Pax sait bien ce qui se trame entre ces deux là, il les a surpris dans les chiottes une fois. Ils ont l'air essoufflés, le tee shirt de Milo est à l'envers et la coiffure de Jess en vrac. Faut pas être devin pour comprendre ce qui s'est passé. Son regard s'attarde ensuite sur Milo qui est assis tout près de Jem, son bras sur l'épaule de la jolie brune. Et lui, ça lui fait quelque chose, sensation qui le prend aux entrailles, désagréable. Il détourne le regard et passe une main dans ses cheveux.

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C'est bon. Même délicieux à sa manière. Elle ne connaissait pas, mais si ça ce ne sont pas les meilleures... alors qu'est-ce que ça serait avec une meilleure ? Elle a presque l'impression d'entendre son frère qui lui dit de faire attention, qu'à trop aimer tout ça, elle risquerait de finir comme celle dont il ne faut plus parler au sein de la maison, mais que Jem n'a jamais eu le cœur d'oublier. Et puis, cela semble trop perceptible sûrement, parce qu'il lui demande si c'est la première fois qu'elle en mange, et ses joues se nimbent d'un joli rose presque immédiatement. Elle finit de macher, avale, puis... « Oui... ça se voit tant que ça ? » Mais elle n'aura sûrement pas de réponse à sa question, parce que voilà que les colocs disparus réapparaissent subitement. Tout va bien ? Elle hoche doucement la tête, parce que c'est vrai. En plus, elle vient de goûter à sa première pizza, et elle se sentait bien avec lui. Milo n'a pas tardé à traverser la pièce pour s'installer à côté d'elle, un bras plus protecteur autour de ses épaules, tandis que Vicky, elle, s'inquiète de savoir si Pax aurait pu lui faire quelque chose. « Tout va bien. Il m'a juste offert un morceau de pizza. » Le regard de sa coloc passe de l'innocente à Pax. Avant de faire le chemin inverse. Convaincue. Pas convaincue. « Un garçon m'a embêtée... et Pax m'a laissé vous attendre ici. » Y a la main de Milo qui se crispe sur son épaule à ces paroles. Le visage de Vicky qui change aussi... Décidément, tout le monde a l'air de s'emporter trop vite ce soir. « Mais ça va... » et pour ne pas mettre de l'huile sur le feu, son regard se tourne vers Pax, un doux sourire venant étirer ses lèvres. « Merci encore. »

Non mais qui à son âge n'a jamais mangé de pizzas sans déconner. Il est à la fois choqué et amusé. Et le surnom qu'il lui a trouvé tout à l'heure prend de plus en plus de sens : l'extraterrestre. C'est ce qu'elle est cette fille, c'est pas possible. Ou alors elle a eu un genre de trauma et elle ne se rappelle plus de rien. Puis y'a les autres qui débarquent. Et les choses habituelles qui se jouent. Victoria ne dit rien suite à sa remarque. Elle se contente de le foudroyer du regard après sa remarque déplacée. Elle prend sa défense Jem. Elle explique ce qui s'est passé aux autres brièvement et les deux nouveaux venus se rient vers elle. Gamine naïve à protéger. Parce qu'elle a cette aura Jem. Cette attraction indéniable. Y'a un sourire qui s'dresse sur ses lèvres à lui tandis qu'il reste éloigné de la scène, un peu en retrait. quand tu veux. parce qu'il ne fait pas exception à la règle et il nourrit lui aussi ce désir d'la protéger, d'la prendre sous son aile. Comme hypnotisé par son charme enfantin. Viens on rentre. qu'elle dit Vicky avant de l'inviter à se lever en lui tendant une main amicale. Une main qu'elle prend. Et Pax se dit qu'c'est dommage qu'elle parte si tôt, parce que sa présence était loin d'être désagréable mais il y aura sans doutes d'autres occasions. Il l'espère vivement. à bientôt. qu'il dit en s'adressant à Jem et un peu aux autres aussi mais ses yeux sont rivés sur la jeune amish. tu sais où s'trouve ma porte maintenant. sourire sournois. Victoria qui lève les yeux au ciel. Et la porte qui se ferme.

The end.