(outfits)Après les SMS de Freya, Charlie était rapidement monté dans sa chambre pour enfiler un jogging et un t-shirt. Il n’avait même pas pris la peine d’éteindre sa console ni même une veste et avait immédiatement foncé vers sa bagnole. Freya avait besoin de lui et, complètement bourrée, elle lui avait envoyé un message. Charlie n’avait pas réfléchi trente secondes et avait immédiatement accepté de venir la chercher même si elle ne voulait pas. Il fût rapidement dans la rue principale d’Edenton -peut-être parce qu’il avait conduit un peu plus rapidement que d’habitude pour les beaux yeux de Freya et inquiet qu’il puisse lui arriver quelque chose. C’est une fois dans la rue proche des restaurants qu’il connaissait que son regard navigua de long en large de la rue pour voir s’il apercevait Freya. C’est au bout de quelques mètres qu’il l’a vit et s’arrêta à sa hauteur avant de baisser la vitre côté conducteur. Freya !! J’suis là. Il lui fit des appels de phare et coupant le moteur il sortit du véhicule. Il la désigna du menton. Qu’est ce qu’il s’est passé ?
Re: Un petit tour de vélo sans selle [ft. Freyarlie] Mer 2 Déc - 18:17
Goulot de bouteille à la main, pas même un portefeuille en poche, si la police débarquait pour te contrôler, au vue de ton taux d'alcoolémie, ils pouvaient te coffrer, consommation d'alcool qui avait été plus qu'importante le temps que le chef de la police ne débarque et si tu lui avais annoncé que tu avais une bouteille de blanc, il ne restait plus que le contenant de cette dernière. Un large sourire étira néanmoins tes lèvres alors que le bellâtre quittait son véhicule pour se planter sur le trottoir. "Je m'suis engueulée avec un SEAL figures-toi !" tu lui lâches alors en riant à demi, plus de nerfs que d'amusement d'ailleurs. Un rapide coup d'œil à ta bouteille vide et tu la balance un peu plus loin sur le sol. "Il a cru que j'l'insultais alors que c'est pas vrai, j'suis pas comme ça moi !" manque de te tordre la cheville en passant une main dans tes cheveux pour les faire glisser derrière tes épaules, démarche assurée néanmoins pour parvenir jusque lui. "Tout ça c'est la faut de la NRA, j'vais leur coller un nouveau procès au cu-tu vas bien ?" tu lui demandes alors d'une voix calme et douce en déposant ta main sur son buste, sourire tendre sur le visage.
Charlie était sorti de la voiture et avait attendu Freya devant la portière ouverte. Froncement de sourcils alors qu’elle lui expliquait ce qui lui était arrivé. Quoi ? Légère grimace alors que Charlie se questionnait sur la possibilité d’une rencontre entre un militaire et sa meilleure amie. Il secoua la tête tandis qu’elle faisait rouler la bouteille au sol et que Charlie suivit du regard. Mais… Hein ? Il avait beau essayer il ne comprenait rien à son histoire. Le barbu secoua la tête alors que la jeune femme s’approchait de lui. Il cligna bêtement des paupières à la fin de sa phrase transformée en question. Je… heu… bien ? Il désigna la voiture. Mon-Monte. Je-Je te ramène. Néanmoins en bon flic qu’il était il fit quelques pas et se dirigea vers la bouteille échouée et se pencha pour la ramasser et la mettre sur le haut de la poubelle publique. Ici on faisait attention à la propreté mais il ne jeta pas la pierre à Freya qui était tout simplement bourrée. Charlie revint sur ses pas et monta dans la bagnole avant de claquer la portière. Boucle ta-ta-ta ceinture. Il fit de même puis démarra une fois que Freya s’était exécutée. Tu-tu dors chez moi, cette-cette nuit. Il n’allait pas la laisser seule alors qu’elle était ivre. T’as une bou-bouteille d’-d’-d’eau à tes pieds
Re: Un petit tour de vélo sans selle [ft. Freyarlie] Mer 2 Déc - 18:51
Dans un soupir aussi long que celui d'une adolescente exaspérée par un parent inquiet, tu lui obéis et trottine jusque la portière pour l'ouvrir et te glisser dans l'habitacle, comme-ci il s'agissait là d'un effort surhumain que tu fournissais finalement, alors que non, tu te remettais du fiasco qu'avait été ton rendez-vous du soir, en partie par ta faute. Boucle ta-ta-ta ceinture. de nouveau, docile petite brune, tu obéis en baissant légèrement le carreau de ton côté en t'enfonçant dans le siège. Tu-tu dors chez moi, cette-cette nuit. un regard est adressé au conducteur, tu te mords les lèvres en souriant, opine du chef doucement, comme une gosse et te redresse un peu sur ton siège, dans ta tête tu te dis que tu vas dormir avec lui et ça te réjouis, une autre part elle, s'enjaille à l'idée d'une soirée pyjama. T’as une bou-bouteille d’-d’-d’eau à tes pieds. "J'ai assez bu," tu lui assure alors en regardant tout de même le sol avant de venir coller l'arrière te ton crâne contre l'appuie tête. "J'ai tellement plus eu de rendez-vous que quand le type m'a dit qu'il avait une arme et qu'il m'as demandé si ça m'excitait, j'me suis enflammée, pouf, comme ça." c'était peut-être ça le problème, tu avais réagit trop vivement, la faute à tes expériences foireuses avec les hommes de ta vie et les armes. "Dire que je m'faisais une joie d'sortir et de célébrer la fin de ma période d'abstinence forcée..." te lamentes-tu avant de te tourner brusquement vers Charlie "Dis-moi que j't'ai pas dérangé au milieu d'une partie d'jambes en l'ai-" tu te penches légèrement pour observe sa tenue plus en détail, muscles saillants au travers de son tee-shirt et idées pas catholiques qui te viennent alors. "J'te déranges pas, si non j'descends..." tu indique l'extérieur de ton index alors que ton autre main elle s'en va presque enclancher la poignée d'ouverture de la porte, prête à sauter en marche.
Il avait mis la première et avait commencé à rouler en demandant ce qui avait été le point noir de sa soirée. Évidemment, l'idée qu’elle ait pu être avec un autre homme ne l’enchantait guère et pourtant le fait que ça se termine dans sa voiture à lui c’était un soulagement. Charlie continua de rouler, jetant des coups d’oeil à Freya parfois. Pourtant ses doigts agrippèrent le volant un peu plus fort tandis qu’elle parlait de son abstinence. Donc elle voulait y mettre fin. Il aurait bien voulu lui suggérer de se retenir encore et pourquoi pas de devenir nonne en attendant plutôt que de se lancer dans les bras du premier inconnu quand un mec comme lui n’espérait qu’une chose l’avoir rien que pour lui. Le flic secoua la tête et tendit la main sans quitter la route des yeux. Non-Non ! J’étais chez-chez-chez moi. T-T-Tout seul. Bon pas vraiment tout seul parce que y avait ses potes avec qui il jouait en ligne qui étaient en vocal avec lui quand il avait tout abandonné pour s’habiller et venir récupérer son amie d’enfance. Lui il n’était peut-être pas en période d’abstinence forcée mais sa vie sexuelle n’était pas au top de sa forme même si effectivement il voyait Bex régulièrement.Mais… P-p-p-pourquoi il t’a-t’a demandé p-p-pour les flingues ? Haussement d'épaules. Il ne comprenait pas trop en quoi ce sujet là était parti en cacahuètes étant lui-même propriétaire d’un flingue en tant que flic.
Re: Un petit tour de vélo sans selle [ft. Freyarlie] Jeu 3 Déc - 15:02
Tout seul chez lui, hm. Tu souris malgré toi, parce que c'est bon de savoir que tu ne le déranges pas, mais qu'en plus de ça, tu n'auras pas la surprise de retrouver qui que ce soit chez lui à moitié nu. J'ai pas la moindre idée de comment tu le prendrais s'il t'avouait qu'il fréquente quelqu'un, même si j'imagine qu'en surface, tu l'encouragerais dans sa relation et te réjouirais pour lui tout en te maudissant d'être restée coincée dans cette fichue friendzone. Mais… P-p-p-pourquoi il t’a-t’a demandé p-p-pour les flingues ? tu fronces légèrement les sourcils, c'est toi qui a amené le sujet sur la table à vrai dire. "Ma faute, j'ai demandé s'il en possédait une, tu sais bien qu'j'aime pas ça." enfin, s'il sait ? Peut-être pas, non. "Entre mon grand père qu'a tué un renoi qui traversait son jardin pour aller travailler, mon père qu'm'a jetée de sa vie en me tenant en joue et Jason qui m'a forcée à rester près d'lui..." tu sors ça dans un souffle, comme machinalement, comme s'il le savait alors que, non, pour ton père et ton ex, ce Jason, il ne peut pas le savoir. Tu as lâché ça tout naturellement, comme-ci ça coulait de source. "Toi c'est différent, ça a même un petit côté excitant j'trouve," tu pouffe de rire en venant poser ta main sur sa cuisse. "J'ai bien songé à te proposer de m'aider à mettre un terme à mon abstinence, mais j'me suis dis que j'allais t'épargner la corvée !" tu tapote sa cuisse en riant de bon coeur, jaune, un peu. Ce que tu es mauvaise quand tu as bu. "Dis Charlie, tu me laisseras jouer avec ton gros pistolet ?" tu as pris ta voix douce, celle que tu employais dans les films dans lesquels tu tournais avant de lâcher ton rire gras et sonore.
Quelques coups d'œil en direction de Freya tandis qu’il prenait la route vers chez lui. Il n’y avait personne dehors pas même un chat alors il pouvait plus simplement écouter la conversation de Freya qui lui expliquait le pourquoi du comment et là, le barbu se figea. Quoi ? Co-Co-Comment ça ?! Il resta con quelques secondes. Co-Comment ça t-t-on père et Jason t’ont me-me-menacé d’une arme ?! Il secoua la tête. Nan mais Freya c’est hyper grave, tu t’en rends compte. Puis il devint tout rouge parce que ce que venait de dire Freya ça lui faisait allumer le radiateur qu’il avait dans le bas du ventre. Qu… Hein ?! Puis sa main sur sa cuisse le fit se tendre et un long frisson lui parcourut tout le corps. Ah.. Ah bon ?! Il se mit à rougir, pinçant les lèvres et ayant de plus en plus chaud. Bien sûr qu’il aurait accepté, parce que Freya était un vrai fantasme pour lui. Il ne pensait plus qu’à la main sur sa cuisse à l’envie qu’il avait qu’elle reste là pour toujours. Une fois arrivée devant la maison il se gara et avant de couper le contact il écarquilla les yeux, bouches entrouvertes, la tête tournée vers elle. Il resta là, le cerveau coupé, silence radio. Il bredouilla un : Quel pistolet ? Non parce que bon il devait être sûr de savoir de quoi elle parlait. Un autre frisson lui parcourut le corps alors qu’il s’imaginait déjà Freya nue devant lui. Est-ce que c’était ce soir ? Il n’attendit pas et Charlie sortit du véhicule presque précipitamment. Il entra dans la maison et une fois qu’elle l’eut suivi il se servit un verre de Whisky. Dans une grimace il demanda : Tu veux boire quelque chose ?
Re: Un petit tour de vélo sans selle [ft. Freyarlie] Jeu 3 Déc - 18:23
T'as attendu d'être rentrée, que la voiture soit garée sans en rajouter quand à la réflexion de Charlie sur la gravité des faits que tu avais eu à subir. Non, il n'y avait rien de bon là dedans, tu le savais, tu savais également que la façon dont ton père t'a chassé de sa vie n'était pas la meilleure, que la manière qu'à eu Jason pour te garder près de lui te donne encore des cauchemars mais tu t'en es tirée maintenant. C'est fini, loin derrière toi, non ? Puis tu t'amuse de ses réactions, te dit que t'es tellement enfoncée dans la friendzone qu'il est mal à l'aise rien qu'à l'idée que tu lui demande le service ultime qu'est l'idée de te passer dessus. Tu pourrais te vexer, être déçue, mais tu ne montre rien, l'alcool t'aide à panser la plaie béante qu'il laisse sans même le savoir sur ton cœur. T'as cherché après lui dans toutes les relations que tu as entrepris et a réalisé que personne ne l'égalerait y'a bien des années, sauf que tu t'es faite à l'idée. Tu envoies voler tes chaussures à talon à peine avez vous passé la porte, lui se sort un verre et toi, démarche féline et assurée malgré la boisson tu le suis, emboîte le pas. "Je plaisantais, pour ton pistolet je parlais de..." tu ne finis pas ta phrase, mais ton regard descend jusque son entre jambe alors que tu hausses les sourcils et lâche un léger rire. "Tequila !" tu t'exclames alors en baissant un peu le zip de ton pantalon qui te serre un peu, cherche du regard le bordel pour tendre le linge dans l'espoir de lui emprunter un bermuda quand tu réalise que jamais tes fesses ne rentreront là dedans. La vagabondent tes prunelles brunes sur ses fesses musclées et rebondis quand tu attrapes un plaid qui traine négligemment sur le canapé et que tu enroule autour de ta taille pour te défaire finalement de ton pantalon à pinces. "Tu pouvais pas savoir pour Jason et mon père," tu lâches alors en passant une main dans tes longs cheveux bruns en t'approchant de lui en quête de ton verre de tequila. "Après mes études, il n'appréciait pas mon choix de vie alors il a..." tu gesticule en levant les mains au niveau de ton visage pour indiquer à Charlie que le pauvre gars a vrillé. "Jason, lui, était plutôt possessif et m'a menacé de mort deux fois, alors je m'suis barrée et j'ai porté plainte contre lui et ai obtenu une ordonnance restrictive pour ne plus qu'il m'approche." là t'as rencontré un avocat avec qui tu as attaqué la NRA a plusieurs reprises et la liste est longue. "Parfois j'me dis que j'suis un boulet pour toi et que tu finiras aussi par me braquer une arme sur la tempe,"
Charlie hocha la tête. Il était rassuré qu’elle plaisante. Verre en main il hocha vivement la tête, se disant que c’était probablement parce qu’elle avait bu qu’elle agissait de la sorte. Il se mit néanmoins à rougir encore plus alors que ses yeux se posaient sur son entrejambe. Charlie hocha vivement la tête encore une fois et attrapa la bouteille de Tequila pour en servir un verre à sa meilleure amie. Il avait effectivement bien compris qu’elle avait parlé de son sexe et c’est ce qui le mit un peu plus mal à l’aise. Il leva les yeux vers elle, alors qu’elle s’enroulait autour d’un plaid. Il détourna seulement le regard quand elle revint vers lui. Il-il fait ch-chaud. Petit ricanement coincé avant de se servir du Whisky. Cul sec dans le gosier avant que le verre se posa de nouveau sèchement sur le comptoir. Charlie étira une grimace sous la brûlure dans sa gorge. Il resta con face à ce qu’elle disait et il dû rester là, face à elle, bouche entrouverte durant quelques secondes encore. Sourcils froncés, le chef de la police avait revêtu sa casquette de flic. Donne moi son nom et son prénom, que je vérifie qu’il mette pas les pieds en ville ! Sèchement il avait rempli de nouveau son verre et l’avait bu aussi sec. Le barbu posa sa main à plat sur le comptoir et secoua la tête. Freya, je suis flic. Je sais ce que c’est de se faire pointer une arme sur la gueule alors non, je ne ferai pas ça à ceux que j’aime. Et c’était bien la première fois qu’il disait à Freya qu’il l’aimait (un peu) parce qu’il était partisan des démonstrations plutôt que de simples mots. Mais avec elle c’était différent parce qu’il n’avait jamais vraiment su lui montrer ses véritables sentiments et encore moins depuis son retour, trois ans plus tôt. Peut-être que l’alcool n’aidait pas non plus aussi. Jason sait pas ce qu’il a perdu. Il secoua la tête se versant à nouveau (et c’était pas une bonne idée), un shot de Whisky. Une femme comme toi on en croise pas tous les jours ou à tous les coins de rues. Il leva son verre à hauteur pour trinquer. Le mec qui t’aura dans sa vie sera vraiment le plus chanceux du monde. Et se disant qu’il espérait que ce soit lui, il fit tinter son verre contre le sien avant de balancer la tête en arrière et de boire cul sec.
Re: Un petit tour de vélo sans selle [ft. Freyarlie] Sam 5 Déc - 18:37
Donne moi son nom et son prénom, que je vérifie qu’il mette pas les pieds en ville ! tu déglutis, l'observe un moment avec de grands yeux avant de prendre une gorgée dans ton verre, ta langue glisse sur tes lèvres comme pour s'assurer que tu ne perdes pas la moindre goutte de cet alcool délicieux. Il ajoute, Charlie, qu'il est flic, que c'est de son devoir, puis tu sais bien que vous êtes proches alors que c'est normal qu'il s'inquiète pour toi et s'indigne du comportement de ce Jason sauf que : "C'était y'a des année Cha'..." tu lui souffles en roulant des yeux, lui faire comprendre que tout cela ne sera pas nécessaire, surtout quand tu penses au nombre de taré fan de films X qui t'ont déposé des fleurs devant la porte de ton appartement, pour les plus courtois, quand ils ne lâchaient pas de vieille capote usager dans ta boîte aux lettre et j'en passe et des meilleures. Tu ne remarques pas l'absence de son bégaiement, ça viendra, tu ne te dis pas non plus que tu es la raison pour laquelle il bégaie, parce que... Pourquoi tu en serais la cause ? Une femme comme toi on en croise pas tous les jours ou à tous les coins de rues. tu souffles un rire par le nez en l'observant, esquisse de sourire flatté se dessine sur tes lippes, tu sais qu'il ment, il sait que ça te gêne, mais tu ne dis rien bien que tes joues aient prit une teinte rosée. Le mec qui t’aura dans sa vie sera vraiment le plus chanceux du monde. "Ou peut-être qu'il existe pas," tu lui lâches alors en allant t'affaler dans le canapé en prenant soin de ne pas renverser d'alcool sur le sol. "En tout cas, c'est pas ce soir que j'le trouverais !" là tu te racles la gorge, assise sur ta cheville tu te redresses un peu, le cherche du regard dans la pièce et lui fait signe d'approcher et d'apporter la bouteille de tequila avec lui. "J'ai pas hâte que tu trouve chaussure à ton pied, parcequ..." tu baisse le nez sur ton tee-shirt, parce qu'en voulant boire une gorgée tu as fais une tache de tequila dessus, oui, l'alcool ça tache, bien entre les deux seins. "Merde," tu lâche alors en reprenant une belle gorgée, tapotant de ta main libre la place près de toi. "Parc'que, elle va pas m'aimer, les filles m'aiment pas, et on sera plus jamais amenés à faire ça !" tu as agité la main pour lui indiquer les lieux, mais tu parles de la situation, les soirées pyjamas au cours desquelles vous dormez ensemble bien sagement. "Imagine !"
Il avait secoué la tête en rejetant son idée que c’était vieux comme histoire et qu’il n’avait pas à s’en faire. Évidemment qu’il s’en faisait et il s’en fera bien plus quand il saura ses activités professionnelles avant de revenir en ville. Puis la discussion dériva sur elle et sur ce qu’elle représentait, il aurait tellement aimé l’avoir à son bras, l’embrasser et pouvoir la caresser mais la friendzone avait été mise assez rapidement et il ne s’était jamais senti capable de lui avouer ses sentiments. Il l’aimait depuis toujours et même à 35 ans il n’arrivait pas à le lui avouer. Dis pas d’conneries. Bien sûr qu’il existe. Et Charlie espérait qu’il meurt avant de venir à Edenton ou que ce soit tout simplement lui l’homme de sa vie mais ça il n’y comptait pas trop. Haussement d’épaules avant de venir la rejoindre sur le canapé avec la bouteille de Tequila. Charlie sentait déjà la chaleur de l’alcool lui monter à la tête. Il secoua la tête, passant son bras sur le haut du canapé, derrière les épaules de Freya. Pfff c’est pas près d'arriver. T’sais y a pas une dizaine de filles qui m’courent après. Puis un peu plus mollement, Charlie secoua la tête avec cette fatigue verbale qu’ils avaient tous en sortant du bar de chez Freya. Faudra qu’elle fasse avec parce que moi je veux pas qu’on arrête de se voir. Il glissa sa main sur son épaule, sans la quitter des yeux. T’es beaucoup trop importante pour moi, puis j’finirai vieux garçon t’sais. Charlie secoua la tête. J’intéresse pas les filles, j’sais pas. J’dois avoir un problème. Il étira un sourire en observant le visage de sa meilleure amie.
Re: Un petit tour de vélo sans selle [ft. Freyarlie] Mar 8 Déc - 15:36
Faudra qu’elle fasse avec parce que moi je veux pas qu’on arrête de se voir. il t'arrache un sourire le brun, timide avec cette étincelle dans le regard que tu prends soin de lui dissimuler par crainte qu'il ne s'en aperçoive, ce serait terrible s'il comprenait que sa meilleure amie depuis des lustres rêve de lui depuis presque aussi longtemps que vous vous connaissez, ce serait même ridicule. Bien que tu doutes de la véracité des faits qui se trouvent être avancés, tu ne le contredit pas, tu crains que ce jour n'arrive et tu le maudit d'avance silencieusement. T’es beaucoup trop importante pour moi, puis j’finirai vieux garçon t’sais. c'est bien la ton cœur que tu sens fondre ou bien est-ce la faute à la tequila renversée sur ta poitrine, ou encore celle que tu as ingurgité ? Tu ne sais pas bien à vrai dire, peut-être est-ce la faute de tout, tout qui se mêle et tes pensées qui peinent à se remettre dans l'ordre après la soirée calamiteuse que tu viens de passer. J’intéresse pas les filles, j’sais pas. J’dois avoir un problème. là tu relèves le nez vers lui en arquant un sourcil, y'en a bien une qu'il intéresse, mais la réciproque n'est pas vraie malheureusement, sauf que toi tu supporte pas de l'entendre parle comme ça, tu sais bien que t'es pas la seule qui s'intéresse à lui, de plus tu sais bien que les uniformes quels qu'ils soient font fantasmer bien des femmes et tu ne serais pas surprise d'apprendre que quelques citoyennes fantasme secrètement de serrer le chef de la police dans un coin, à moins qu'elles n'aient la brulante envie de se faire passer les menottes. Verre toujours en main, c'est ta main libre qui vient chiffonner son col pour l'attirer à toi. L'ivresse te donne des ailes au point que tes lèvres viennent se déposer contre les siennes tendrement et lentement, ton emprise se défait lentement de lui, tes phalanges qui s'accrochent à sa nuque et c'est seulement après quelques seconde que tu te détache de lui dans un léger sourire. "Tu disais des conneries, je me devais de te faire taire..." t'as soufflé un rire par les narines avant de reprendre une grande gorgée d'alcool, feignant de ne rien ressentir du tout suite à ce qui vient de se produire alors que tous tes sens se trouvent être en alerte.
Charlie ne comprenait pas où était le problème avec les femmes. Ok il avait bien eu Bex dans sa vie et il la voyait régulièrement pour des galipettes mais il ne se sentait pas attirant pour un sous. L’uniforme devait y faire beaucoup pour les quelques relations qu’il avait eu mais ça s’était arrêté là. Allez savoir. Et il pensait vraiment qu’aucune femme ne lui ferait quitter sa meilleure amie, surtout pas si c’était pas jalousie. Le barbu secoua la tête. L’alcool lui avait donné chaud. La rapidité avec laquelle il avait bu tout ça lui faisait tourner la caboche. Alors il soupira. Parce qu’il n’y avait qu’une femme dont il avait envie mais elle l’avait foutu dans la friendzone et ne souhaitait visiblement pas l’en sortir. Il s’y était malheureusement fait et avait appris à vivre avec la solitude. Il serait seul pour toujours, bouffé par une armée de chats qui le prendraient pour une litière ou un coussin. Freya agrippa son col et l’attira proche d’elle. Elle écrasa ses lèvres sur les siennes. Charlie écarquilla les yeux, essayant de garder son calme, son self control, se dire que se jouait là le moment le plus important de leur relation. Ce moment qui comptait le plus et qui allait définir leur avenir. Ses lèvres avaient un goût différent de ce qu’il avait pu imaginer. Il resta là sans bouger tandis qu’elle s’était détachée. Le chef de la police était visiblement choqué de ce qui avait bien pu se produire. Est-ce que c’était réel ? Est-ce qu’il l’avait imaginé ? Ou bien l’alcool avait de drôles d’effets sur lui ce soir ? Charlie cligna bêtement des paupières, se grattant la nuque avant de poser de nouveau son regard sur elle. Elle ne semblait pas étonnée d’avoir agi comme ça. Est-ce que c’était parce qu’elle avait pitié de lui ? Il continua de rester là, comme une statue de sel. Charlie attrapa le verre de Freya et le posa sur la table basse. Ils avaient assez bu,non ? Les yeux de Charlie brillaient étrangement tandis qu’il posa sa main sur sa nuque à elle, les doigts entremêlés à ses cheveux. Je dis jamais de conneries. Sa bouche se colla un peu précipitamment sur la sienne, s’ouvrant et sa langue glissant avec envie. Son ventre se tordit alors et il se colla presque à elle avant d’entourer son visage de son autre main. Il n’aurait pas voulu être ailleurs, non mais il voulait lui montrer avec plus qu’un simple baiser combien elle était importante dans sa vie, que c’était elle et personne d’autre. Charlie finit par s’écarter de ses lèvres, le souffle court, avec l’impression que son cœur allait sortir de sa poitrine. Il resta accroché à sa nuque en regardant ses yeux, emplis de désir et d’amour pour elle. Il attrapa de nouveau son visage entre ses mains et posa ses lèvres sur les siennes, il n’avait pas envie d’entendre un “mais qu’est-ce qu’on fait ?” ou “on est trop bourré”. non, pas ce soir, pas maintenant alors qu’il se rendait compte de ce désir brûlant qu’il avait en lui quand il pensait à elle. Il la voulait.
Re: Un petit tour de vélo sans selle [ft. Freyarlie] Mar 8 Déc - 18:31
Ton sourire qui s'efface bien rapidement alors que le chef de la police te débarrasse de ton verre pour le poser sur la table basse à proximité, là tu perds un peu contenance, tu te dis qu'il va te jeter dehors, s'offusquer de ton comportement et peut-être même qu'une dispute va éclater et ça, tu n'en as pas envie. Ton estomac se tord un peu quand l'appréhension te gagne, c'est à peine si tu parviens à le regarder dans les yeux, regretterais-tu ton geste ? Si cela te mène à le perdre, oui pour sur que tu vas t'en vouloir de t'être laissée emporté. Je dis jamais de conneries. non, mais il ne bégaie pas et tu viens à peine de t'en rendre compte, la pensée balayée par le contact de ses lèvres contre les tiennes, d'une main tu agrippe son poignet comme pour lui demander silencieusement de ne pas te lâcher, baiser auquel tu réponds avec envie quand ta seconde main elle glisse de son flan jusque son omoplate pour l'approcher de toi un peu plus encore. Son parfum il t'enivre complètement, le baiser lui te fait perdre pied, à moins que ça ne soit l'alcool. Quand vous vous séparez finalement, tu prends ton temps pour ouvrir les yeux, par crainte que cela ne soit qu'un tour que te joue l'alcool que tu as ingéré, comme-ci tout cela relevait de la science fiction, papillons dans l'estomac, souffle court, tu te mords les lèvres comme pour savourer encore un peu de ce qu'il est, ce qu'il a déposé sur tes lippes. Les siennes sont douces et tu restes là troublée. Tu sais parfaitement que si tu t'écoute, ce contact tu ne pourras jamais plus t'en passer. Puis le manège recommence pour ton plus grand plaisir, tu sens en toi monter l'envie, grandir l'excitation d'une scène que tu t'es joué des années durant et qui finalement se déroule ce soir. Ton premier réflexe c'est de te débarrasser de ton haut taché, entre deux baisers fougueux, tu ignores si c'est judicieux, s'il regrettera son geste demain, non tu te contente de vivre le présent. Puis c'est de son tee-shirt marine que tu te débarrasses, en profite pour le pousser en arrière et lui grimper dessus, t'installer à califourchon dans un long soupir. Quand tu te détache de ses lippes un sourire niais illumine ton visage et tu prends le temps de l'observer, plonger ton regard brun dans le sien, à bout de souffle tu fais glisser une longue mèche de cheveux brun derrière ton oreille. "On..." tu reprends ton souffle en riant à demi. "On serait peut-être mieux dans la chambre, non ?" tu suggères alors en lui volant un nouveau baiser plein d'envie.
Sa langue s’enroule à la sienne et c’est dans un frisson brûlant qu’il se colla à elle. Bordel que c’était bon. Jamais il n’oubliera cette brûlure sur sa peau, cette marque qu’elle avait causée sans s’en rendre compte. Ce soir c’était le grand soir. Ce moment qu’il avait attendu depuis des années et des années n’espérant même plus que ça puisse arriver. Il profita du moment de répis pour l’observer, elle. Son regard monta puis descendit plusieurs fois avant de s’arrêter sur ses lèvres. Son sourire s’étira légèrement avant qu’il ne lève les bras pour l’aider à lui retirer son t-shirt. Il ne la quittait pas des yeux. Charlie se retrouva à moitié allongé, le visage crispé par le désir. Clairement elle avait réveillé quelque chose qui sommeillait en lui et qu’il avait refoulé des années durant. Elle grimpa sur lui alors qu’il l’observait de plus en plus intensément, curieux de savoir ce qu’elle lui réservait, excité par sa soudaine témérité. Ses mains glissèrent doucement sur ses hanches. Sa bouche s’était écrasée sur la sienne, sa langue chaude et affamée l’électrisait alors que les mains du flic l’empoignaient, la caressaient. Freya était si magnifique, un ange. Rapidement Charlie hocha la tête. Oh oui il avait envie de monter dans la chambre avec elle. Il la laissa se lever puis lui attrapant la main il se mit en route vers l’étage et grimpa rapidement les marches pour rejoindre le lit. Une fois dans la pièce, Charlie baissa son jogging pour se montrer en caleçon devant elle. Seulement en sous-vêtements il s’avança vers elle et attrapant sa nuque il l’embrassa de nouveau, la tête qui tournait et tournait encore. Est-ce que c’était l’alcool ou bien simplement Freya qui lui faisait cet effet là ?
Lentement il défit le nœud qu’elle avait autour de la taille et la libéra du plaid qu’elle avait enroulé autour d’elle après avoir enlevé son pantalon un peu plus tôt. Charlie embrassa son cou, puis sa mâchoire avant de faire remonter ses mains dans son dos pour lui dégrafer son soutien gorge. Alors, lentement ses doigts glissèrent sur ses épaules pour faire glisser sa dentelle et qu’elle tombe à leurs pieds. Tu es magnifique, souffla-t-il à son oreille avant de lui mordiller le lobe tout en se collant complètement à elle. Lui, son envie était au maximum, boxer bien trop petit, l’étouffant presque par cette attente infernale. Mais bien qu’alcoolisé, Charlie voulait prendre son temps, profiter de cet instant qui ne se reproduira peut-être jamais plus.
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